question de sous
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didinee
Admin
JLR
7 participants
Destination IFSI :: Le coin des AS et des étudiants IDE et AS :: Carnet de Bord des étudiants IDE et AS
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question de sous
Parlons d'un sujet un peu tendu : les sous.
J'aimerai bien avoir les retours de plusieurs étudiants en IFSI qui pourraient me dire combien coûte la scolarité en IFSI... parce que jusque là, j'ai eu pas mal d'avisdifférents !! Entre plusieurs centaines d'euros et quelques milliers, ça fait une sacré marge ! J'ai l'impression que cela varie pas mal entre les IFSI..
Donc mes questions :
Combien coûte la scolarité d'une année en IFSI ?
Combien représente les achats de matériels, livres et tout ?
Quelles sont vos plus grosses dépenses ?
Est-ce qu'il y a des bourses ?
J'aimerai bien avoir les retours de plusieurs étudiants en IFSI qui pourraient me dire combien coûte la scolarité en IFSI... parce que jusque là, j'ai eu pas mal d'avisdifférents !! Entre plusieurs centaines d'euros et quelques milliers, ça fait une sacré marge ! J'ai l'impression que cela varie pas mal entre les IFSI..
Donc mes questions :
Combien coûte la scolarité d'une année en IFSI ?
Combien représente les achats de matériels, livres et tout ?
Quelles sont vos plus grosses dépenses ?
Est-ce qu'il y a des bourses ?
JLR- Admin
- Messages : 828
Date d'inscription : 25/07/2012
Re: question de sous
Ps : je pense que c'est un sujet qui peut intéresser pas mal de monde ^^
J'espère que cela ne dérangera pas les étudiants actuels en IFSI de nous parler de leurs dépenses et revenus (bourses, stages, emploi à mi temps possibles pour financer la scolarité ?) ; même si parler argent c'est tabou en France, cela pourra aider pas mal de candidats à se faire une idée !
J'espère que cela ne dérangera pas les étudiants actuels en IFSI de nous parler de leurs dépenses et revenus (bourses, stages, emploi à mi temps possibles pour financer la scolarité ?) ; même si parler argent c'est tabou en France, cela pourra aider pas mal de candidats à se faire une idée !
JLR- Admin
- Messages : 828
Date d'inscription : 25/07/2012
Re: question de sous
Je vais répondre à cette question avec ma propre expérience :
Combien coûte la scolarité d'une année en IFSI ?
La scolarité d'une année coute environ 175 euros, mais cela varie d'une année à l'autre et à tendance a augmenter. Ces frais de scolarité sont valables pour un IFSI public !
il faut ajouter a cela le paiement des droits pour la sécurité sociale : environ 180 euros !
Combien représente les achats de matériels, livres et tout ?
Je dirais bien 400 euros !
Il faut les tenues ( environ 200 euros ) , les livres ( environ 100 euros ), et du matériel annexe ( bloc note, ciseaux, kocher ... )
Quelles sont vos plus grosses dépenses ?
Les plus grosses dépenses interviennent la première année, car il faut tout acheter d'un coup !
Ensuite on peut mettre l'essence, mais celle-ci est remboursé quand nous sommes en stage !
Est-ce qu'il y a des bourses ?
il y a les bourses du conseil régional, qui s'appliquent sur conditions de ressources ... si on est boursier les frais de scolarité et de sécurité sociale sont remboursés.
il y a aussi les prise en charge par pole emploi , et par les employeurs, mais ces modes de prise en charge je les connais mal, je laisserai d'autres détaillez cela plus en profondeur !
Combien coûte la scolarité d'une année en IFSI ?
La scolarité d'une année coute environ 175 euros, mais cela varie d'une année à l'autre et à tendance a augmenter. Ces frais de scolarité sont valables pour un IFSI public !
il faut ajouter a cela le paiement des droits pour la sécurité sociale : environ 180 euros !
Combien représente les achats de matériels, livres et tout ?
Je dirais bien 400 euros !
Il faut les tenues ( environ 200 euros ) , les livres ( environ 100 euros ), et du matériel annexe ( bloc note, ciseaux, kocher ... )
Quelles sont vos plus grosses dépenses ?
Les plus grosses dépenses interviennent la première année, car il faut tout acheter d'un coup !
Ensuite on peut mettre l'essence, mais celle-ci est remboursé quand nous sommes en stage !
Est-ce qu'il y a des bourses ?
il y a les bourses du conseil régional, qui s'appliquent sur conditions de ressources ... si on est boursier les frais de scolarité et de sécurité sociale sont remboursés.
il y a aussi les prise en charge par pole emploi , et par les employeurs, mais ces modes de prise en charge je les connais mal, je laisserai d'autres détaillez cela plus en profondeur !
Re: question de sous
Hum... Et est-ce que tu as une idée du cout d'un IFSI privé ? (une fourchette ?)Ces frais de scolarité sont valables pour un IFSI public !
JLR- Admin
- Messages : 828
Date d'inscription : 25/07/2012
Re: question de sous
Absolument pas ! J'ai aussi entendu parler de 3000 euros l'année ... Mais il faudrait une confirmation !
Re: question de sous
Pour un IFSI privé j 'en connais un a 1600 € l'année ..
didinee- Crevette
- Messages : 8
Date d'inscription : 14/02/2013
Age : 30
Localisation : 42
Re: question de sous
Moi j'ai le coût de la formation pour l'ifsi de Dreux: dans le dossier c'est noté 6364€ en 2013
delphineblanc- Posteur confirmé(e)
- Messages : 70
Date d'inscription : 03/02/2013
Age : 49
Localisation : croth
Re: question de sous
Aaaah c'est bien ce qu'on m'avait dit, les privé sont super chers !Moi j'ai le coût de la formation pour l'ifsi de Dreux: dans le dossier c'est noté 6364€ en 2013
JLR- Admin
- Messages : 828
Date d'inscription : 25/07/2012
Re: question de sous
oui c'est vrai mais la formation, pour ma part, est payée par le conseil général.
delphineblanc- Posteur confirmé(e)
- Messages : 70
Date d'inscription : 03/02/2013
Age : 49
Localisation : croth
Re: question de sous
C'est une sorte de bourse du conseil général ?c'est vrai mais la formation, pour ma part, est payée par le conseil général.
Comment tu as postulé ?
JLR- Admin
- Messages : 828
Date d'inscription : 25/07/2012
Re: question de sous
oui c'est une sorte de bourse, dans le dossier est noté:
pour les étudiants sans droit à rémunération, les bénéficiaires d'une rémunération pôle emploi ( c'est mon cas), les bénéficiaires d'un congé parental et autres prestations versées par la caf, les bénéficiaires du rsa. Ils prennent en charge la formation et ta rémunération, ils manquent tellement de personnels dans les hôpitaux de ma région ( sur le 27 et le 28) que ma "conseillère" du pôle emploi m'a dit qu'ils les accordaient presque systématiquement, je ferai la demande dés que j'aurai eu mon concours.
pour les étudiants sans droit à rémunération, les bénéficiaires d'une rémunération pôle emploi ( c'est mon cas), les bénéficiaires d'un congé parental et autres prestations versées par la caf, les bénéficiaires du rsa. Ils prennent en charge la formation et ta rémunération, ils manquent tellement de personnels dans les hôpitaux de ma région ( sur le 27 et le 28) que ma "conseillère" du pôle emploi m'a dit qu'ils les accordaient presque systématiquement, je ferai la demande dés que j'aurai eu mon concours.
delphineblanc- Posteur confirmé(e)
- Messages : 70
Date d'inscription : 03/02/2013
Age : 49
Localisation : croth
Re: question de sous
Attention, cependant, beaucoup de régions n'embauchent plus de jeune infirmiers !
En décembre 2012, un état des lieux national sur les conditions d'embauche dans le métier infirmier a été effectué par la FNESI. La première organisation représentante des étudiants en soins infirmiers tire aujourd'hui la sonnette d'alarme et annonce des résultats consternants. Ces derniers concrétisent ce qui se dit déjà depuis octobre 2012 sur la difficulté à trouver un emploi pour les jeunes diplômés.
En juillet 2012, les jeunes diplômés ont été confrontés à une nouvelle problématique : une diminution de l’offre d’emploi. Alors que la profession infirmière est connue depuis toujours pour ses facilités d’insertion professionnelle, le temps du plein emploi est aujourd'hui révolu !
Les raisons pouvant expliquer ce chômage
Il est nécessaire de préciser que ce problème, quelle que soit la région, concerne principalement l’emploi hospitalier (54 % des IDE travaillaient en 2009 en milieu hospitalier). L’emploi intérimaire est aussi touché de plein fouet par cette tendance. On note en effet une diminution de l’offre d’emploi sur l’ensemble du territoire, avec de fortes accentuations dans certaines régions. La situation économique joue ici un rôle, les intérimaires servant de variable d’ajustement dans la gestion de la masse salariale d’un établissement. Dans les périodes où les déficits et les restrictions budgétaires sont de mise, l’emploi intérimaire a tendance à donc diminuer. Rappelons que les dépenses dues au personnel représentent en moyenne pour un établissement 70 % des dépenses de fonctionnement (source FHF)
Il faut aussi prendre en compte le fait qu’il y ait eu en 2011-2012 deux promotions diplômées : la promotion 2008-2011 ( issue du référentiel de 1992) diplômée en novembre 2011 n’avait que 6 mois d’embauche lors de l’arrivée sur le marché du travail de la promotion 2009-2012 ( issue du référentiel 2009) en juillet 2012.
De manière générale, les jeunes professionnels recherchent un emploi qui les intéresse dans leurs premiers mois. Or, les offres d’emploi sont en majorité dans les EHPAD (Établissement Hospitalier pour Personnes Âgées Dépendante) et les services de gériatrie souffrent on le sait du désamour des nouveaux diplômés. Les services de pédiatrie, eux aussi, ont une tendance importante à offrir de l’emploi, mais la spécificité de ces services freine les jeunes IDE qui n’ont pas tous eu l’occasion lors de leurs études de se former aux particularités des soins chez l’enfant et le nourrisson.
De plus, on le sait bien les exigences et la demande de travail par soignant augmentent mais pas l’emploi...
Aujourd'hui on compte en moyenne plus de 800 IDE pour 10 000 habitants
Des disparités régionales
Le problème de l’offre d’emploi et les disparités régionales en matière de postes à pourvoir commencent à être mis en avant. Ils ont notamment été évoqués lors des premières “Rencontres RH de la Santé”, en septembre 2012. Lors de cet événement, Jean Marie Bardot, président de l’Association pour le Développement des Ressources Humaines des Établissements Sanitaires et Sociaux (ADRHESS) témoignait d’un état de fait : certaines régions n’embauchent plus. Certaines régions comme la Bretagne, l'Aquitaine, le Nord Pas de Calais, l'Alsace et la Normandie, n'emploient plus, alors que des manques d'effectifs et donc des offres d'emplois existent en Île De France ou en Région Centre.
En région parisienne, l’offre d’emploi est bien réelle. On y emploie des intérimaires mais peu de CDD sont signés. La gestion économique des établissements de santé a, ici, une part importante de responsabilité, mais pas seulement. Les conditions d’exercice, les restrictions budgétaires et surtout les difficultés de logements sont autant de causes qui freinent les IDE dans leur volonté de travailler en Ile de France. On pourra se référer par exemple aux problèmes de logements rencontrés par des soignants de l’Assistance Publique-Hopitaux de Paris (AP-HP). Mais la situation économique des établissements publics est elle aussi en cause. L’Ile de France, pour toutes ces raisons n’attire pas : on y trouve du travail mais les emplois sont précaires et non pérennes. Les nouveaux diplômés commencent à travailler à l’AP-HP puis retournent en province où les centres hospitaliers sont plus attractifs grâce au concept de « l’hôpital magnet » : la mise en place de facilités (crèches, services à la personne...) pour le personnel soignant est beaucoup plus développée, et où les conditions de logement et facilités d’installation sont meilleures. Les hôpitaux « aimants » attirent ainsi plus les soignants. Le confort d’un accompagnement dans la prise de poste est aussi un argument majeur qui joue en faveur des centres hospitaliers de province.
La prise en compte de la mobilité
Autre constat, celui de la nécessité de la mobilité pour les jeunes IDE. Comme dit précédemment, une grande proportion des jeunes diplômés de province se trouve dans l’obligation d’aller en région parisienne pour trouver de l’emploi. Paradoxalement, les IDE de cette même région la quittent après de courtes périodes d’exercice, ce qui est du aux conditions d’exercice défavorables et aux difficultés de logement. Ces IDE se tournent ensuite vers les centres hospitaliers de province. Or ces derniers ont récemment vu leur capacité d’embauche de personnel soignant diminuer. Ainsi la Bretagne, le Nord Pas de Calais, la Normandie et l’Aquitaine n’embauchent pas, d’autres comme la région Midi-Pyrénées tendent à ne plus proposer assez d’offres d’emplois et le discours tenu aux ESI de ces régions le corrobore. Ils sont mis en garde et se préparent à devoir faire preuve de mobilité sur l’ensemble du territoire. À Toulouse par exemple, le directeur de la formation du CHU reconnaît que « les énormes tensions sur le marché du personnel soignant connues il y a deux ans sont maintenant derrière nous car elles étaient liées à des départs massifs à la retraite de toute une génération. Les évolutions démographiques s’inversent.” Les 1184 ESI de la région seront autant d’IDE appelés à plus de mobilité dans leur recherche d’emploi.
En décembre 2012, un état des lieux national sur les conditions d'embauche dans le métier infirmier a été effectué par la FNESI. La première organisation représentante des étudiants en soins infirmiers tire aujourd'hui la sonnette d'alarme et annonce des résultats consternants. Ces derniers concrétisent ce qui se dit déjà depuis octobre 2012 sur la difficulté à trouver un emploi pour les jeunes diplômés.
En juillet 2012, les jeunes diplômés ont été confrontés à une nouvelle problématique : une diminution de l’offre d’emploi. Alors que la profession infirmière est connue depuis toujours pour ses facilités d’insertion professionnelle, le temps du plein emploi est aujourd'hui révolu !
Les raisons pouvant expliquer ce chômage
Il est nécessaire de préciser que ce problème, quelle que soit la région, concerne principalement l’emploi hospitalier (54 % des IDE travaillaient en 2009 en milieu hospitalier). L’emploi intérimaire est aussi touché de plein fouet par cette tendance. On note en effet une diminution de l’offre d’emploi sur l’ensemble du territoire, avec de fortes accentuations dans certaines régions. La situation économique joue ici un rôle, les intérimaires servant de variable d’ajustement dans la gestion de la masse salariale d’un établissement. Dans les périodes où les déficits et les restrictions budgétaires sont de mise, l’emploi intérimaire a tendance à donc diminuer. Rappelons que les dépenses dues au personnel représentent en moyenne pour un établissement 70 % des dépenses de fonctionnement (source FHF)
Il faut aussi prendre en compte le fait qu’il y ait eu en 2011-2012 deux promotions diplômées : la promotion 2008-2011 ( issue du référentiel de 1992) diplômée en novembre 2011 n’avait que 6 mois d’embauche lors de l’arrivée sur le marché du travail de la promotion 2009-2012 ( issue du référentiel 2009) en juillet 2012.
De manière générale, les jeunes professionnels recherchent un emploi qui les intéresse dans leurs premiers mois. Or, les offres d’emploi sont en majorité dans les EHPAD (Établissement Hospitalier pour Personnes Âgées Dépendante) et les services de gériatrie souffrent on le sait du désamour des nouveaux diplômés. Les services de pédiatrie, eux aussi, ont une tendance importante à offrir de l’emploi, mais la spécificité de ces services freine les jeunes IDE qui n’ont pas tous eu l’occasion lors de leurs études de se former aux particularités des soins chez l’enfant et le nourrisson.
De plus, on le sait bien les exigences et la demande de travail par soignant augmentent mais pas l’emploi...
Aujourd'hui on compte en moyenne plus de 800 IDE pour 10 000 habitants
Des disparités régionales
Le problème de l’offre d’emploi et les disparités régionales en matière de postes à pourvoir commencent à être mis en avant. Ils ont notamment été évoqués lors des premières “Rencontres RH de la Santé”, en septembre 2012. Lors de cet événement, Jean Marie Bardot, président de l’Association pour le Développement des Ressources Humaines des Établissements Sanitaires et Sociaux (ADRHESS) témoignait d’un état de fait : certaines régions n’embauchent plus. Certaines régions comme la Bretagne, l'Aquitaine, le Nord Pas de Calais, l'Alsace et la Normandie, n'emploient plus, alors que des manques d'effectifs et donc des offres d'emplois existent en Île De France ou en Région Centre.
En région parisienne, l’offre d’emploi est bien réelle. On y emploie des intérimaires mais peu de CDD sont signés. La gestion économique des établissements de santé a, ici, une part importante de responsabilité, mais pas seulement. Les conditions d’exercice, les restrictions budgétaires et surtout les difficultés de logements sont autant de causes qui freinent les IDE dans leur volonté de travailler en Ile de France. On pourra se référer par exemple aux problèmes de logements rencontrés par des soignants de l’Assistance Publique-Hopitaux de Paris (AP-HP). Mais la situation économique des établissements publics est elle aussi en cause. L’Ile de France, pour toutes ces raisons n’attire pas : on y trouve du travail mais les emplois sont précaires et non pérennes. Les nouveaux diplômés commencent à travailler à l’AP-HP puis retournent en province où les centres hospitaliers sont plus attractifs grâce au concept de « l’hôpital magnet » : la mise en place de facilités (crèches, services à la personne...) pour le personnel soignant est beaucoup plus développée, et où les conditions de logement et facilités d’installation sont meilleures. Les hôpitaux « aimants » attirent ainsi plus les soignants. Le confort d’un accompagnement dans la prise de poste est aussi un argument majeur qui joue en faveur des centres hospitaliers de province.
La prise en compte de la mobilité
Autre constat, celui de la nécessité de la mobilité pour les jeunes IDE. Comme dit précédemment, une grande proportion des jeunes diplômés de province se trouve dans l’obligation d’aller en région parisienne pour trouver de l’emploi. Paradoxalement, les IDE de cette même région la quittent après de courtes périodes d’exercice, ce qui est du aux conditions d’exercice défavorables et aux difficultés de logement. Ces IDE se tournent ensuite vers les centres hospitaliers de province. Or ces derniers ont récemment vu leur capacité d’embauche de personnel soignant diminuer. Ainsi la Bretagne, le Nord Pas de Calais, la Normandie et l’Aquitaine n’embauchent pas, d’autres comme la région Midi-Pyrénées tendent à ne plus proposer assez d’offres d’emplois et le discours tenu aux ESI de ces régions le corrobore. Ils sont mis en garde et se préparent à devoir faire preuve de mobilité sur l’ensemble du territoire. À Toulouse par exemple, le directeur de la formation du CHU reconnaît que « les énormes tensions sur le marché du personnel soignant connues il y a deux ans sont maintenant derrière nous car elles étaient liées à des départs massifs à la retraite de toute une génération. Les évolutions démographiques s’inversent.” Les 1184 ESI de la région seront autant d’IDE appelés à plus de mobilité dans leur recherche d’emploi.
Re: question de sous
Mon mari travail prés de versailles en hopital gerontologique medico-social, il est, pour le moment ash de nuit, il fait donc le travail des as et infirmiers, ca va faire 6 ans qu'il est en cdd et la plus part des infirmieres sont espagnol, je ne sais pas si c'est le cas partout mais dans les yvelines c'est la tendance ( j'ai plusieurs amis dans ce domaine).
delphineblanc- Posteur confirmé(e)
- Messages : 70
Date d'inscription : 03/02/2013
Age : 49
Localisation : croth
Re: question de sous
C'est surement le cas, car elles sont mieux payées que dans leur pays et ne revendiquent pas un salaire plus élevé.
Le problème c'est que les infirmières ont de plus en plus de responsabilités, et il y a un déplacement des taches vers le bas ( aide soignante ou ASH qui branche des perfusions, font des toilettes, pique des sous cutanées ) , mais ça n'a l'air de déranger personne.
A travers mes différents stages, j'ai pu constaté que les soins sont souvent mal effectués par manque de temps, par banalisation de ceux ci. et c'est le patient qui trinquent ...
Je pense que bientot, la profession infirmière va subir un changement, car on ne pourra pas continuer ainsi !
Le problème c'est que les infirmières ont de plus en plus de responsabilités, et il y a un déplacement des taches vers le bas ( aide soignante ou ASH qui branche des perfusions, font des toilettes, pique des sous cutanées ) , mais ça n'a l'air de déranger personne.
A travers mes différents stages, j'ai pu constaté que les soins sont souvent mal effectués par manque de temps, par banalisation de ceux ci. et c'est le patient qui trinquent ...
Je pense que bientot, la profession infirmière va subir un changement, car on ne pourra pas continuer ainsi !
Re: question de sous
:-/ c'est pas bon signe pour les nouveaux infirmiers !Le problème c'est que les infirmières ont de plus en plus de responsabilités, et il y a un déplacement des taches vers le bas ( aide soignante ou ASH qui branche des perfusions, font des toilettes, pique des sous cutanées ) , mais ça n'a l'air de déranger personne.
A travers mes différents stages, j'ai pu constaté que les soins sont souvent mal effectués par manque de temps, par banalisation de ceux ci. et c'est le patient qui trinquent ...
JLR- Admin
- Messages : 828
Date d'inscription : 25/07/2012
Re: question de sous
Celui de Mulhouse 68 est à 4000 euros l'année , on peut avoir des bourses via la région Alsace (heureusement sinon je passerais pas ce concours) le concours coûte 90 euros
falling-star68- Skwatteur en chef
- Messages : 813
Date d'inscription : 07/02/2012
Age : 32
Localisation : Alsace
Re: question de sous
Il ya a aussi le BESS ( bourse ^^ )
LaMaritch'- Visiteur
- Messages : 11
Date d'inscription : 11/03/2013
Re: question de sous
je passe le concours d'aide soignante à dunkerque et le prix de la formation de 10 mois elle coûte a peu prés 4500 euros
séverine59- Posteur confirmé(e)
- Messages : 52
Date d'inscription : 23/02/2014
Localisation : Nord
Re: question de sous
Tu peut être exonéré des frais si tu es en poursuite d'études ou si tu es inscrite au pôle emploi.
falling-star68- Skwatteur en chef
- Messages : 813
Date d'inscription : 07/02/2012
Age : 32
Localisation : Alsace
Re: question de sous
je suis inscrite au pole emploi mais il faut être dans les 10 premiers
séverine59- Posteur confirmé(e)
- Messages : 52
Date d'inscription : 23/02/2014
Localisation : Nord
Re: question de sous
Tu es sure ?
falling-star68- Skwatteur en chef
- Messages : 813
Date d'inscription : 07/02/2012
Age : 32
Localisation : Alsace
Re: question de sous
je suis allée directement la bas
séverine59- Posteur confirmé(e)
- Messages : 52
Date d'inscription : 23/02/2014
Localisation : Nord
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