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pesticides qui s'invitent das nos assiettes

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Message par Invité Dim 21 Mar - 12:35

Ces pesticides qui s'invitent dans nos assiettes

Créé le 19.03.10 à 19h18
Mis à jour le 19.03.10 à 19h18 | 88 commentaires
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Cageots de fruits et légumes au départ de Rungis/Lionel Bonaventure AFP/Archives



ENVIRONNEMENT - Du 20 au 30 mars, c'est la «semaine sans pesticides» en France. Mais au fait, c'est quoi un pesticide? C'est dangereux? 20minutes.fr fait le point...
C’est quoi un pesticide?


Le terme «pesticide» est un terme générique regroupant les insecticides, les raticides, les fongicides, et les herbicides. Les pesticides – on les appelle aussi «produits phytosanitaires» - sont des composés chimiques émis dans une culture pour lutter contre des organismes nuisibles (insectes, rongeurs, champignons, mauvaises herbes, vers parasites). Ils permettent d’obtenir des rendements réguliers, aussi bien en termes quantitatif que qualitatif.
On en utilise beaucoup en France?


La France utilise quelque 76.000 tonnes de pesticides par an, dont 90% concernent l'agriculture, selon l'Acap. Notre pays est au 1e rang des utilisateurs européens de ces produits chimiques.
Selon un rapport officiel de l'UE portant sur l’année 2006, 44% des fruits et légumes testés en France contiennent des pesticides, et 6% dépassent les limites légales (Limites Maximales en Résidus, LMR).
Quels effets ont-ils sur l’environnement?


En tant que molécules chimiques, les pesticides ont des effets négatifs sur l'environnement. Ils se dispersent dans l’atmosphère, dans l’eau (en surface comme dans les nappes phréatiques), et se propagent dans le sol, qu’ils peuvent polluer durablement et même stériliser.
Certains de ces produits chimiques se retrouvent également dans notre alimentation, pour finir par se concentrer dans notre organisme. Selon l’étude de 2006, 23 pesticides ont été détectés à des niveaux suffisamment élevés pouvant présenter un risque aigu pour la santé publique. Et cinq des pesticides les plus fréquemment retrouvés dans les aliments vendus dans l'Union européenne sont classées comme cancérigènes, mutagènes, toxiques pour la reproduction, ou perturbateurs pour le système hormonal.
Et sur notre santé?


Les pesticides auraient également des conséquences sanitaires pour l’homme, selon de multiples études. Ce risque peut se manifester sous la forme d’intoxications aiguës, souvent liées aux accidents d’épandage (100 à 200 cas par an imputés aux pesticides selon la Mutualité sociale agricole (MSA) et le laboratoire GRECAN), mais aussi d’intoxications chroniques (cancers, problèmes de reproduction, maladies neurologiques et neurodégénératives, perturbation du système hormonal).
On peut s’en passer?


Oui, selon le Mouvement pour les droits et le respect des générations futures) MDRGF, qui soutient la «semaine sans pesticides» en France. L’association met en avant une étude de l'Institut national de la Recherche agronomique (Inra) rendue publique en janvier, qui affirme qu’une réduction d’environ 30% du recours aux pesticides serait possible, sans bouleversement majeur des systèmes de production. Dans ce scénario, les marges pour les grandes cultures seraient «peu ou pas touchées» et la baisse de la production serait relativement modeste (-6%).
Bérénice Dubuc

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Message par Invité Dim 21 Mar - 12:42

Le compte à rebours a commencé pour le vote final de la réforme de l'assurance-santé au Congrès. Tous ceux qui, à Washington, en Israël ou en Europe, ont parié sur sa "faiblesse", l'ont comparé à Jimmy Carter ou ont annoncé sa défaite en 2012, vont peut-être devoir réviser leur jugement. Le "Waterloo" promis par le sénateur républicain Jim DeMint est en passe de se transformer en une victoire politique déterminante pour Barack Obama.

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if(window.addEventListener )
window.addEventListener('load', init_boite_meme_sujet, false);
else
window.attachEvent('onload', init_boite_meme_sujet);



"Une lutte longue d'un siècle va s'achever sur un vote historique", a annoncé le président américain vendredi 19 mars, lors d'un dernier rassemblement populaire en Virginie. "Teddy Roosevelt savait que c'était juste. Harry Truman savait que c'était juste. Teddy Kennedy savait que c'était juste..." Dans le gymnase de l'université George Mason, 8 500 personnes, debout, ont scandé un cri de ralliement qu'on n'avait pas entendu depuis longtemps : "Yes we can." L'orateur n'avait pas attendu pour ranimer la flamme. "Souvenez-vous, il y a trois ans. Nous n'étions pas bien haut dans les sondages. On nous avait disqualifiés d'office !" Le message était clair : aujourd'hui comme hier ne pas sous-estimer la détermination de Barack Obama.
Treize mois après le lancement du débat sur la réforme, la ténacité du président américain devrait finalement payer. Dès dimanche, 72 heures après le dépôt des dernières modifications du texte, la réforme devait être mise au vote à la Chambre des représentants. Soit pour être adoptée dans la foulée, soit, si les 216 voix nécessaires n'y sont pas, dès que la présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, les aura réunies. Compte tenu de son forcing de dernière minute, il est clair que M. Obama ne s'arrêtera plus avant d'avoir vaincu les dernières résistances. "On nous a bien fait comprendre qu'il n'était pas question de partir d'ici avant que le texte soit voté", expliquait vendredi le représentant du Connecticut, Joe Courtney, en annonçant, devant les caméras qui traquent les votes un par un, qu'il passait de la catégorie des "indécis" à celle des "oui".
La réforme est de l'ampleur de celle qui avait abouti en 1965 à la création de l'assurance pour les plus de 65 ans (Medicare). Elle oblige tous les Américains à souscrire une assurance avant 2014 sous peine d'amende. Elle interdit aux compagnies d'assurance de refuser de les couvrir en raison de leurs antécédents médicaux, et cela dès cette année pour ce qui concerne les enfants. Elle accorde une aide financière aux familles qui gagnent moins de 88 000 dollars par an. Le coût de la réforme, qui devrait couvrir 31 millions de non-assurés, est estimé à 940 milliards de dollars (695 milliards d'euros) sur dix ans, financés par des taxes sur les revenus élevés et des coupes dans les dépenses de soins.
Les démocrates reviennent de loin. Il y a deux mois, quand ils ont perdu leur supermajorité au Sénat, la presse conservatrice annonçait l'enterrement de la réforme et les centristes du parti étaient prêts à battre en retraite. Après une courte pause, M. Obama est reparti à l'attaque, mais plutôt que de courtiser les parlementaires, il s'est adressé à l'opinion. Il a rappelé David Plouffe, le stratège politique de la campagne de 2008. La Maison Blanche a désigné l'ennemi, les compagnies d'assurance, et pris l'habitude de montrer les victimes, les Américains dans la détresse, pour redonner à la réforme le sens "moral" qui avait été perdu de vue derrière la cuisine législative.
Début mars, M. Obama a réuni les PDG des compagnies d'assurance à la Maison Blanche et il leur a lu la lettre qu'il venait de recevoir de Natona Canfield, 50 ans, atteinte d'une leucémie, et qui venait de voir sa prime doubler. La malade est devenue l'emblème du combat.
Le président a remobilisé la base. Il a rallié la gauche, qui se console difficilement que "l'option publique" - l'assurance fédérale - ait été écartée. Il a rallié Paul Krugman, qui appelle, dans sa dernière chronique du New York Times, à voter pour la réforme, "toute imparfaite qu'elle soit". Il a rallié le représentant de l'Ohio, Dennis Kucinich, l'icône des progressistes, qui est ressorti d'un tête-à-tête dans Air Force One, l'avion présidentiel, en expliquant clairement les enjeux : "Nous devons veiller à ce que la présidence de M. Obama ne soit pas détruite par ce débat. Il y a un enjeu beaucoup plus large, ici, pour l'Amérique."
Et lorsque les évêques catholiques ont pris parti contre la réforme, en arguant que des subventions publiques pourraient servir à payer des avortements - alors qu'une loi fédérale l'interdit déjà -, M. Obama a rencontré Soeur Carol Keehan et, le 17 mars, plusieurs dizaines de milliers de religieuses ont signé une lettre de soutien. Samedi, même l'éditorial du Washington Post, généralement critique, a succombé : "Votez oui", recommande-t-il aux parlementaires. Pour le National Journal, Barack Obama a été "inflexible sur le but mais souple et éclectique sur le trajet". Il a passé des accords avec les adversaires traditionnels (l'industrie pharmaceutique) sans s'interdire de s'opposer aux alliés démocrates. A la surprise des sondeurs, il n'a que peu perdu dans les enquêtes d'opinion. Si le taux d'approbation de son action stagne aux alentours de 50 %, sa cote personnelle est peu entamée. Les électeurs continuent à lui faire confiance et même les indépendants, qui se sont désolidarisés de la réforme, apprécient toujours sa personnalité. "Il a réussi à se positionner au-dessus de la mêlée, explique Michael Dimock, le directeur adjoint du Pew Research Center, l'un des principaux centres d'études de l'opinion. Il s'est présenté comme quelqu'un qui insiste pour traiter le problème mais qui est prêt à écouter, à faire des compromis."
En laissant le soin au Congrès de se salir les mains, Barack Obama a réussi à sauvegarder une partie de son capital politique : son image.Corine Lesnes

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Message par Invité Dim 21 Mar - 12:45

C'est l'enjeu des tests génétiques dont les médecins parlent le moins. Celui qui ne cherche pas à décrypter nos gènes pour déterminer notre risque biologique à développer telle ou telle pathologie, pour vérifier si l'on a hérité de la maladie de notre grand-mère, pour suggérer que nos enfants auront une sensibilité moyenne à la douleur, une bonne mémoire à court terme ou une préférence marquée pour la nourriture sucrée. Ce que disent ces gènes-là ne concerne pas notre santé, mais nos origines. Avec l'aide - intéressée - de plusieurs dizaines d'entreprises américaines (et dans une moindre mesure britanniques), qui proposent, par l'intermédiaire de leur site Internet, des tests génétiques personnalisés en libre accès.
African Ancestry, EthnoAncestry, 23andMe, Family Tree DNA, Gene Tree, DNA Tribes ou Warrior Roots : pour la plupart, le nom de ces sociétés de biotechnologies parle de lui-même. Contre une goutte de salive, une enveloppe timbrée et un chèque de plusieurs centaines de dollars, elles nous invitent, par la simple lecture de nos gènes, à reconstruire notre histoire familiale. A localiser les origines géographiques de nos ancêtres. A dessiner leur parcours migratoire. Une génétique "récréative" qui séduit un nombre croissant d'amateurs, mais dont la pertinence est loin de convaincre la Société française de génétique humaine (SFGH).
Avec huit autres sociétés savantes et associations françaises de génétique, celle-ci vient de rendre public un texte visant à informer "des limites scientifiques, voire des dérives associées à des interprétations indues des résultats de ces tests, et des dangers qui peuvent en résulter".
La première limite de ces analyses, soulignent les chercheurs, tient au matériel sur lequel elles sont effectuées. Les tests les plus accessibles financièrement - et donc le plus souvent proposés - se basent sur la comparaison des variations génétiques de deux types particuliers d'ADN (le support de l'hérédité) : l'ADN des mitochondries, petites entités cellulaires qui ne se transmettent que par la mère ; et celui du chromosome Y, qui ne se transmet que par le père. De ce fait, ils ne donnent respectivement d'informations que sur un seul ancêtre en lignée maternelle et un seul en lignée paternelle : deux ancêtres parmi quatre grands-parents, huit arrière-grands-parents, seize arrière-arrière-grands-parents... A mesure que l'on remonte les générations, les clés d'appartenance délivrées par ces variations génétiques s'expriment donc par des probabilités de plus en plus faibles. Une réalité, soulignent les signataires de ce texte, qui est "souvent occultée ou peu explicite".
L'autre limite à la validité de ces tests d'origines réside dans leur méthode même. Pour préciser la généalogie d'un client, les sociétés de la Silicon Valley comparent ses "variants" génétiques (des petits fragments de génome qui, dans l'ADN étudié, diffèrent beaucoup d'une personne à l'autre) à la manière dont sont distribués ces mêmes variants dans plusieurs populations. Diverses méthodes statistiques permettent alors d'attribuer à cette personne la probabilité pour que le profil de ses gènes soit comparable à celui de telle ou telle population, référencée pour ses caractéristiques géographiques, ethnologiques ou linguistiques.
Or, sur le plan génétique, la couverture mondiale des populations actuelles est encore largement imparfaite : elle favorise d'une part les populations des pays développés, d'autre part les populations dites "isolées", très étudiées en anthropologie. Pour toutes ces raisons, affirment les experts, ces analyses généalogiques sont insuffisantes pour établir un diagnostic solide et complet de nos origines. Y a-t-il pour autant tromperie sur la marchandise ?
Tout dépend, en fait, de la demande des clients. "Leurs motivations se révèlent extrêmement diverses", précise le généticien des populations Pierre Darlu, corédacteur du texte de la SFGH. "L'origine peut faire référence aux lieux géographiques d'où proviennent leurs ancêtres, à leur identité culturelle, à la recherche d'une possible ascendance célèbre. Elle peut concerner les générations les plus proches, ou au contraire les origines lointaines." S'il est à craindre, estime-t-il, que les entreprises privées ne répondent pas "avec toute la rigueur souhaitée à la diversité de ces demandes", l'aventure n'en comporte pas moins sa part de rêve... et de plaisir.
Tel homme qui pensait avoir un arrière-grand-parent venu de l'Est se déclare ravi d'apprendre que ses origines sont purement britanniques ; tel autre, allemand, découvre avoir des ancêtres écossais et décide d'organiser ses vacances en conséquence... Qu'importe après tout que l'information ne soit que partielle, si elle ne fait de mal à personne ? A cela près que ces tests génétiques ne répondent pas toujours uniquement à des finalités "récréatives". Ils peuvent, par exemple, être réalisés sur un autre génome que le sien et à l'insu de son détenteur (un cheveu suffit), pour confirmer ou infirmer des liens de parenté, notamment de paternité.
Dans la mesure où ils suggèrent un rapprochement entre origine géographique et origine ethnique, ces tests, estiment les chercheurs, soulèvent plus généralement "toutes les questions relatives à l'identité de la personne, à la place que la biologie doit prendre dans sa définition et aux implications qu'un tel marquage "ethnique" entraînerait au niveau social et politique".
Après le tollé déclenché en France, en 2007, par l'amendement Mariani au projet de loi sur l'immigration qui prévoyait l'instauration de tests ADN pour les candidats étrangers au regroupement familial (projet abandonné par l'actuel ministre de l'immigration, Eric Besson), le Royaume-Uni est ainsi entré, à son tour, dans une violente polémique. Son objet ? Le lancement, par l'agence des frontières du Home Office (l'équivalent du ministère de l'intérieur), d'un projet pilote prétendant éviter les fraudes parmi les demandeurs d'asile en déterminant leur nationalité au moyen de tests ADN et d'analyse isotopique. Avec, en ligne de mire principale, les nombreux Kényans qui se déclareraient somaliens pour obtenir l'asile outre-Manche.
Dès sa révélation en septembre 2009, ce "projet sur la provenance humaine" ("Human Provenance Project") a déclenché l'ire des chercheurs britanniques, pour qui ces tests sont scientifiquement invalides. "Les recherches nécessaires pour déterminer le lien entre une structure génétique et un groupe ethnique n'ont simplement pas été faites. Et même si cela marchait - ce dont je doute -, assigner une personne à une population donnée n'indique pas la nationalité. Les gens se déplacent !", notait ainsi dans la revue Science (datée du 2 octobre 2009) Alec Jeffreys (université de Leicester, Royaume-Uni). Pour ce biologiste, inventeur de la technique d'empreintes génétiques utilisée par la justice, la procédure est "naïve et scientifiquement défectueuse". Depuis, le projet court toujours. Catherine Vincent

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