THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
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THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
"Le suicide au travail est le plus souvent lié à une transformation de l'organisation"
Mardi 11 août, un agent de France Télécom à Besançon (Doubs) s'est donné la mort. Sud-PTT indique que, "depuis février 2008, c'est le vingtième suicide enregistré" chez l'opérateur par l'Observatoire du stress et des mobilités forcées, créé par ce syndicat et la CGC.
Ce passage à l'acte est "en lien avec le travail", affirment les
syndicats. Le parquet de Besançon a, lui, estimé que, à la lecture
d'une lettre laissée par le salarié, il était "impossible d'établir un lien formel de causalité" entre ses problèmes professionnels et son suicide, sans exclure la possibilité d'une enquête sur ses conditions de travail.
Ce drame relance le débat sur le malaise au travail. Coauteur, avec Florence Bègue, de Suicide et travail, que faire ?, à paraître le 2 septembre aux Presses universitaires de France (PUF), Christophe Dejours, titulaire de la chaire psychanalyse-santé-travail au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), souligne l'importance de l'organisation du travail.
Comment réagissez-vous à ce nouveau cas de suicide ?
Je suis en colère, car cet événement souligne une dégradation du "vivre
ensemble" chez France Télécom qui, depuis sa privatisation, pratique
une réorganisation d'une grande brutalité, d'après les enquêtes dont
j'ai eu connaissance. Je suis effondré, car cela montre que le travail
que nous avons essayé de faire, depuis les premiers suicides au
travail, il y a une douzaine d'années, pour favoriser la prise de
conscience de la souffrance au travail, est sans effet.
Avez-vous rencontré des chefs d'entreprise ouverts à ce sujet ?
Oui, mais ils sont rares, car les directions sont très hostiles à ouvrir ce
dossier. J'observe toutefois, depuis quelques années, qu'elles sont
très inquiètes, et prennent des initiatives simplistes, comme la
création de cellules psychologiques, de numéros verts ou l'organisation
de stages de gestion individuelle du stress. Ce ne sont pas de réelles
solutions, parce que les suicides relèvent de fragilités individuelles,
même si l'entreprise reconnaît l'existence de contraintes. Chacun est
considéré comme responsable de sa décompensation. Cette vision est
fausse : ces suicides sont le plus souvent en lien avec les
transformations de l'organisation du travail.
Les fragilités individuelles ne pèsent donc pas ?
Chacun a ses fragilités. Il faut cesser de penser l'organisation du travail
pour des êtres humains idéaux qui n'existent pas. C'est vrai qu'en
général, le salarié qui se suicide a des difficultés personnelles. Mais
expliquer ainsi son geste, comme le font les directions, c'est
s'appuyer sur l'idée d'une coupure entre vie personnelle et vie au
travail. Or, sur le plan psychique, elle n'existe pas. Quand quelqu'un
souffre au travail, cela vient dégrader sa vie personnelle.
La crise économique aggrave-t-elle le risque de suicides ?
Nous n'avons pas de statistiques, mais la crise ne suffit pas à aggraver ce
risque. Ce qui joue, c'est l'absence de remise en question d'une
organisation du travail qui produit 300 à 400 suicides par an et une
montée des pathologies mentales.
Que préconisez-vous ?
Il y a trente ou quarante ans, le harcèlement, les injustices existaient,
mais il n'y avait pas de suicides au travail. Leur apparition est liée
à la déstructuration des solidarités entre les salariés. Celles-ci ont
été broyées par l'évaluation individuelle des performances, qui crée de
la concurrence entre les gens, de la haine même. Cette évaluation doit
être remise en question, et je connais des entreprises qui le font. Il
faut se réinterroger sur ce qu'est le travail collectif, la
coopération. Cette dernière passe par l'instauration de règles de
métier, qui organisent le "vivre ensemble".
Propos recueillis par Francine Aizicovici
Le monde,
13/08/09.
1. Quels sont les facteurs liés au travail qui pourraient pousser au suicide ?
2. Quels pourraient être les signes précurseurs chez un sujet suicidaire ?
Mardi 11 août, un agent de France Télécom à Besançon (Doubs) s'est donné la mort. Sud-PTT indique que, "depuis février 2008, c'est le vingtième suicide enregistré" chez l'opérateur par l'Observatoire du stress et des mobilités forcées, créé par ce syndicat et la CGC.
Ce passage à l'acte est "en lien avec le travail", affirment les
syndicats. Le parquet de Besançon a, lui, estimé que, à la lecture
d'une lettre laissée par le salarié, il était "impossible d'établir un lien formel de causalité" entre ses problèmes professionnels et son suicide, sans exclure la possibilité d'une enquête sur ses conditions de travail.
Ce drame relance le débat sur le malaise au travail. Coauteur, avec Florence Bègue, de Suicide et travail, que faire ?, à paraître le 2 septembre aux Presses universitaires de France (PUF), Christophe Dejours, titulaire de la chaire psychanalyse-santé-travail au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), souligne l'importance de l'organisation du travail.
Comment réagissez-vous à ce nouveau cas de suicide ?
Je suis en colère, car cet événement souligne une dégradation du "vivre
ensemble" chez France Télécom qui, depuis sa privatisation, pratique
une réorganisation d'une grande brutalité, d'après les enquêtes dont
j'ai eu connaissance. Je suis effondré, car cela montre que le travail
que nous avons essayé de faire, depuis les premiers suicides au
travail, il y a une douzaine d'années, pour favoriser la prise de
conscience de la souffrance au travail, est sans effet.
Avez-vous rencontré des chefs d'entreprise ouverts à ce sujet ?
Oui, mais ils sont rares, car les directions sont très hostiles à ouvrir ce
dossier. J'observe toutefois, depuis quelques années, qu'elles sont
très inquiètes, et prennent des initiatives simplistes, comme la
création de cellules psychologiques, de numéros verts ou l'organisation
de stages de gestion individuelle du stress. Ce ne sont pas de réelles
solutions, parce que les suicides relèvent de fragilités individuelles,
même si l'entreprise reconnaît l'existence de contraintes. Chacun est
considéré comme responsable de sa décompensation. Cette vision est
fausse : ces suicides sont le plus souvent en lien avec les
transformations de l'organisation du travail.
Les fragilités individuelles ne pèsent donc pas ?
Chacun a ses fragilités. Il faut cesser de penser l'organisation du travail
pour des êtres humains idéaux qui n'existent pas. C'est vrai qu'en
général, le salarié qui se suicide a des difficultés personnelles. Mais
expliquer ainsi son geste, comme le font les directions, c'est
s'appuyer sur l'idée d'une coupure entre vie personnelle et vie au
travail. Or, sur le plan psychique, elle n'existe pas. Quand quelqu'un
souffre au travail, cela vient dégrader sa vie personnelle.
La crise économique aggrave-t-elle le risque de suicides ?
Nous n'avons pas de statistiques, mais la crise ne suffit pas à aggraver ce
risque. Ce qui joue, c'est l'absence de remise en question d'une
organisation du travail qui produit 300 à 400 suicides par an et une
montée des pathologies mentales.
Que préconisez-vous ?
Il y a trente ou quarante ans, le harcèlement, les injustices existaient,
mais il n'y avait pas de suicides au travail. Leur apparition est liée
à la déstructuration des solidarités entre les salariés. Celles-ci ont
été broyées par l'évaluation individuelle des performances, qui crée de
la concurrence entre les gens, de la haine même. Cette évaluation doit
être remise en question, et je connais des entreprises qui le font. Il
faut se réinterroger sur ce qu'est le travail collectif, la
coopération. Cette dernière passe par l'instauration de règles de
métier, qui organisent le "vivre ensemble".
Propos recueillis par Francine Aizicovici
Le monde,
13/08/09.
1. Quels sont les facteurs liés au travail qui pourraient pousser au suicide ?
2. Quels pourraient être les signes précurseurs chez un sujet suicidaire ?
Invité- Invité
Re: THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
Hello,
Voici pour compléter le suicide au travai
Source site france 5.fr
Il n'existe pas de statistiques fiables pour déterminer précisément le nombre de tentatives de suicide. Des évaluations faites à partir des prises en charge médicales permettraient d'en estimer 150 000 par an. 80 % d'entre-elles se font par intoxication médicamenteuse, mais on retrouve aussi des moyens violents et radicaux : pendaison, arme à feu, saut depuis un lieu élevé...
La mort ou la maladie en phase terminale d'un parent ou d'un ami, une séparation, le stress au sein de la famille, la perte d'un travail, d'une maison, d'argent, de situation, d'amour-propre ou de sécurité personnelle sont autant de facteurs que l'on peut associer à des risques importants de suicide.
Le suicide dans l'entreprise
Il n'existe pas de statistiques sur les suicides liés au travail. "Le phénomène du suicide lié au travail n'est pas nouveau, mais il s'est accentué ces dernières années", selon Christian Larose, président CGT de la section du travail du Conseil économique et social (CES).
Cependant, gardien de prison, policier, psychiatre, urgentiste ou pompier sont considérés comme des métiers "exposés" ou "métiers à risques". Des professions où l'on affronte la violence ou même la mort. Mais le sujet reste tabou. Ni les collègues ni les syndicalistes ni les proches ne veulent parler. Les directions encore moins, redoutant la mauvaise publicité.
Anonymat, manque de dialogue, rythme des restructurations de société, stress, concurrence entre les salariés, mise au placard, licenciement ou harcèlement moral sont les principales causes de suicide au travail.
Aussi, pour y remédier, (lire le dossier de Doctissimo "Suicide, le monde du travail en accusation") il est conseillé de prêter attention aux chiffres de l'absentéisme, d'intégrer des assistantes sociales dans les entreprises, d'augmenter le nombre de consultations auprès des médecins du travail, d'améliorer la communication entre les salariés, les services et la hiérarchie, et de rompre le silence en cas de suicide.
Chômage et suicide
Selon l'INED, il n'y a pas de cause à effet. D'autres études tendent pourtant à établir qu'à chaque fois que le taux de chômage augmente de 1 %, on constate une hausse des suicides de 4 à 5 % (source AES). Certaines victimes de licenciement, plus attachées parfois à leurs collègues de travail qu'à leur famille, réagissent par la colère : détresse psychique, violence, acte de vandalisme, incendie provoqué, séquestration, tendance suicidaire ponctuent alors leur descente aux enfers dominée par l'absence de toute perspective possible.
Face à un avenir professionnel assombri, la famille et le couple ne peuvent pas toujours jouer leur fonction de rempart. Le suicide devient alors l'ultime étape d'une spirale de la dégradation, de la dépréciation et de la dépersonnalisation...
Voici pour compléter le suicide au travai
Source site france 5.fr
Il n'existe pas de statistiques fiables pour déterminer précisément le nombre de tentatives de suicide. Des évaluations faites à partir des prises en charge médicales permettraient d'en estimer 150 000 par an. 80 % d'entre-elles se font par intoxication médicamenteuse, mais on retrouve aussi des moyens violents et radicaux : pendaison, arme à feu, saut depuis un lieu élevé...
La mort ou la maladie en phase terminale d'un parent ou d'un ami, une séparation, le stress au sein de la famille, la perte d'un travail, d'une maison, d'argent, de situation, d'amour-propre ou de sécurité personnelle sont autant de facteurs que l'on peut associer à des risques importants de suicide.
Le suicide dans l'entreprise
Il n'existe pas de statistiques sur les suicides liés au travail. "Le phénomène du suicide lié au travail n'est pas nouveau, mais il s'est accentué ces dernières années", selon Christian Larose, président CGT de la section du travail du Conseil économique et social (CES).
Cependant, gardien de prison, policier, psychiatre, urgentiste ou pompier sont considérés comme des métiers "exposés" ou "métiers à risques". Des professions où l'on affronte la violence ou même la mort. Mais le sujet reste tabou. Ni les collègues ni les syndicalistes ni les proches ne veulent parler. Les directions encore moins, redoutant la mauvaise publicité.
Anonymat, manque de dialogue, rythme des restructurations de société, stress, concurrence entre les salariés, mise au placard, licenciement ou harcèlement moral sont les principales causes de suicide au travail.
Aussi, pour y remédier, (lire le dossier de Doctissimo "Suicide, le monde du travail en accusation") il est conseillé de prêter attention aux chiffres de l'absentéisme, d'intégrer des assistantes sociales dans les entreprises, d'augmenter le nombre de consultations auprès des médecins du travail, d'améliorer la communication entre les salariés, les services et la hiérarchie, et de rompre le silence en cas de suicide.
Chômage et suicide
Selon l'INED, il n'y a pas de cause à effet. D'autres études tendent pourtant à établir qu'à chaque fois que le taux de chômage augmente de 1 %, on constate une hausse des suicides de 4 à 5 % (source AES). Certaines victimes de licenciement, plus attachées parfois à leurs collègues de travail qu'à leur famille, réagissent par la colère : détresse psychique, violence, acte de vandalisme, incendie provoqué, séquestration, tendance suicidaire ponctuent alors leur descente aux enfers dominée par l'absence de toute perspective possible.
Face à un avenir professionnel assombri, la famille et le couple ne peuvent pas toujours jouer leur fonction de rempart. Le suicide devient alors l'ultime étape d'une spirale de la dégradation, de la dépréciation et de la dépersonnalisation...
Invité- Invité
Re: THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
Je vois que mon sujet n'inspire personne.
Vous n'avez pas le temps ou ça ne vous intéresse pas ?
Vous n'avez pas le temps ou ça ne vous intéresse pas ?
Invité- Invité
SUCIDE AU TRAVAIL
Numéro vert et observatoire du stress
|
Invité- Invité
Re: THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
question1:
Depuis la récente crise économique, les entreprises entreprennent des restructurations massives.Parmis les conséquences, le suicide est devenu un phénomène préoccupant.Quels sont les origines de ce malaise?
Avant la crise, le climat était plus familial, solidaire.La remise en question des compétences des employés étaient rare.
Désormais les employés doivent faire face à une crise qui sur le plan psychologique sucite un sentiment de peur.De plus,au travail une pression constente fragilise la personne et accentu cette peur.
Lors de ces réorganisations, beaucoup de personnels ont étaient mutter de leur région d'origine.Ce qui pose souvent probleme, car ils ne souhaite pas vendre leurs biens immobiliers.
Mais les travailleurs sont les otages de leurs entreprises,car ils n'ont guére le choix.Entre celui d'accepter de travailler ou celui de perdre son emploi.Cette dernière enduit une perte de revenue et annonce un début de précarité pour certains.
La fragilité psychologique des salariés est la principale cause de suicide au travail.Notons le manque de considération des supérieurs lors de ce type de gestion.Sans employer une société ne peux exister,prendre soins d'eux doit être une priorité.
bon voila pour moi mots ailes ,j'espere que d'autre ferons de meme!
Depuis la récente crise économique, les entreprises entreprennent des restructurations massives.Parmis les conséquences, le suicide est devenu un phénomène préoccupant.Quels sont les origines de ce malaise?
Avant la crise, le climat était plus familial, solidaire.La remise en question des compétences des employés étaient rare.
Désormais les employés doivent faire face à une crise qui sur le plan psychologique sucite un sentiment de peur.De plus,au travail une pression constente fragilise la personne et accentu cette peur.
Lors de ces réorganisations, beaucoup de personnels ont étaient mutter de leur région d'origine.Ce qui pose souvent probleme, car ils ne souhaite pas vendre leurs biens immobiliers.
Mais les travailleurs sont les otages de leurs entreprises,car ils n'ont guére le choix.Entre celui d'accepter de travailler ou celui de perdre son emploi.Cette dernière enduit une perte de revenue et annonce un début de précarité pour certains.
La fragilité psychologique des salariés est la principale cause de suicide au travail.Notons le manque de considération des supérieurs lors de ce type de gestion.Sans employer une société ne peux exister,prendre soins d'eux doit être une priorité.
bon voila pour moi mots ailes ,j'espere que d'autre ferons de meme!
Invité- Invité
Re: THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
Ah merci naïma !!
Je n'avais pas pensé aux mutations géographiques , mais c'est vrai que ça peut vraiment jouer sur le moral ( ou être positif, par exemple " bienvenue chez les ch'tis " )
Je n'avais pas pensé aux mutations géographiques , mais c'est vrai que ça peut vraiment jouer sur le moral ( ou être positif, par exemple " bienvenue chez les ch'tis " )
Invité- Invité
Re: THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
A mon tour, j'ai synthétisé mes réponses ( en pensant plus à une création de fiche):
Facteurs au travail qui poussent au suicide:
* métiers à risques (policier, pompier) où la violence est omniprésente.
* pression de la part de nos dirigeants
-cadres, traiders: objectifs élevés voire irréalisables.
-france telecom: restructuration de l'entreprise.
* humiliation/frustration entre collègues ou de la part de la hiérarchie.
* précarité du salaire (difficulté à "joindre les 2 bouts").
Signes avant-coureurs du suicide:
*signes psychologiques:
-état dépressif
-agressivité/angoisse/peur humeur instable
-sentiment de désespoir
*signes biologiques:
-troubles alimentaires perte/augmentation du poids.
-fatigue inhabituelle
-trouble du sommeil
-perte de tonus musculaire
*signes comportementaux:
-isolement
-sérénité soudaine ou agressivité inhabituelle
-"laisser aller" personnel (hygiène, vètements)
-abandon d'activité
@ voir...............
Facteurs au travail qui poussent au suicide:
* métiers à risques (policier, pompier) où la violence est omniprésente.
* pression de la part de nos dirigeants
-cadres, traiders: objectifs élevés voire irréalisables.
-france telecom: restructuration de l'entreprise.
* humiliation/frustration entre collègues ou de la part de la hiérarchie.
* précarité du salaire (difficulté à "joindre les 2 bouts").
Signes avant-coureurs du suicide:
*signes psychologiques:
-état dépressif
-agressivité/angoisse/peur humeur instable
-sentiment de désespoir
*signes biologiques:
-troubles alimentaires perte/augmentation du poids.
-fatigue inhabituelle
-trouble du sommeil
-perte de tonus musculaire
*signes comportementaux:
-isolement
-sérénité soudaine ou agressivité inhabituelle
-"laisser aller" personnel (hygiène, vètements)
-abandon d'activité
@ voir...............
Invité- Invité
Re: THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
C'est pas mal d'avoir classifié les différents signes je trouve
Invité- Invité
Re: THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
Bon, je n'ai pas grand chose à rajouter, à part ça pour compléter un peu :
1.
- Sentiment de ne pas être à la "hauteur", dans une société qui va de plus en plus vite et qui est de plus en plus exigeante. ( manque de considération du travail fourni )
- Harcèlement
- Compétition entre les employés ( avec des évaluations et un système de notation individuelle dans certaines entreprises )
2.
- Anxiété.
- Comportement à risques ( alcoolisme, consommation de drogues, prise de risque démesurée.. )
- Peu ou pas d' estime de soi.
- Prédispositions génétiques ( fort tôt de suicide dans la famille, schizophrénie... )
Voilà, pas mieux
1.
- Sentiment de ne pas être à la "hauteur", dans une société qui va de plus en plus vite et qui est de plus en plus exigeante. ( manque de considération du travail fourni )
- Harcèlement
- Compétition entre les employés ( avec des évaluations et un système de notation individuelle dans certaines entreprises )
2.
- Anxiété.
- Comportement à risques ( alcoolisme, consommation de drogues, prise de risque démesurée.. )
- Peu ou pas d' estime de soi.
- Prédispositions génétiques ( fort tôt de suicide dans la famille, schizophrénie... )
Voilà, pas mieux
Invité- Invité
Re: THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
Oui, tu as raison: la société exigeante et la compétition entre les employés: à mettre dans la pression des employeurs
Et à ajouter le harcèlement moral et sexuel comme un facteur du suicide...........
Et à ajouter le harcèlement moral et sexuel comme un facteur du suicide...........
Invité- Invité
Re: THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
par contre le but c'est de faire une disertation et non de faire une fiche,cela nous permettra de juger notre niveau et d'évoluer grace aux remarques et aux suggestions!
que pensez-vous de ma réponse concrétement(intro,dev et conclusion)?merci d'avance
que pensez-vous de ma réponse concrétement(intro,dev et conclusion)?merci d'avance
Invité- Invité
Re: THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
Perso, je trouve ça bien.
C'est bien écrit. Peut-être qu'il faudrait un plus de facteurs ( arguments ); mais bon je ne suis pas correctrice donc ce n'est pas évident de juger.
C'est bien écrit. Peut-être qu'il faudrait un plus de facteurs ( arguments ); mais bon je ne suis pas correctrice donc ce n'est pas évident de juger.
Invité- Invité
Re: THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
effectivement j'aurais du un peu approfondir en argumentant plus.tout conseil est bon à prendre motsdailes!
Invité- Invité
Re: THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
Il y a aussi l'orthographe à laquelle il faut faire très attention. Car il me semble qu'on est noté par rapport à ça. Moi, je me force tout le temps à me relire, à chercher si j'ai un doute sur quelque chose. Après, il y a toujours des fautes qui m'échappent, mais bon ...
Invité- Invité
Re: THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
Wouah ! Quel travail les filles, je suis super contente. C'est vraiment ma vision du travail.
Effectivement, la correction nous devons la faire nous même du fait que ce sont des nouveaux sujets. Mais j'applaudis votre travail !
Effectivement, la correction nous devons la faire nous même du fait que ce sont des nouveaux sujets. Mais j'applaudis votre travail !
Re: THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
desolé , en ce qui me concerne , j'ai peu de temps ces derniers jours pour réaliser des exposés .
Je suis en pleine revision , des fiches ue j'ai dans mon boukin , a ce propos des ce soir je compte en donner deux ou trois pour demarrer . Les plus importante , histoir de rendre cela public .
Aussi encore désolé pour la fiche mastermind , la methode imparable que je ne peux toujours pas vous donner faute de mon amie qui m'enerve a force d'oublier ^^ .
Mais je vais vite faire cela pour vous .
Bon pour revenir au suicide au travail ,
les facteurs et conséquences énumérées auparavant me semble tout a fait complets .
Ne pas oublier , les relations entre collegues toutes simplement parfois dégradées . Le harcèlement existe egalement malheureusement dans certaines boites , provenant de la différence des personnes concernées , faut de discrimination encore ttrop fréquente dans notre société .
L'atmosphère envirronnante ; les relations familiales , les problèmes financiers , une ville sujette a énrmément de bruit peut aussi jouer sur la psychologie de la personne et donc accentuer les troubles psychologiques de la personne ...
Bref des facteurs on pourrait en énumérer tout un tas , mais le tout est de se concentrer sur les plus importants et surtout , savoir donner de exemple en relation avec nos dires .
Voili voilou ^^
Je suis en pleine revision , des fiches ue j'ai dans mon boukin , a ce propos des ce soir je compte en donner deux ou trois pour demarrer . Les plus importante , histoir de rendre cela public .
Aussi encore désolé pour la fiche mastermind , la methode imparable que je ne peux toujours pas vous donner faute de mon amie qui m'enerve a force d'oublier ^^ .
Mais je vais vite faire cela pour vous .
Bon pour revenir au suicide au travail ,
les facteurs et conséquences énumérées auparavant me semble tout a fait complets .
Ne pas oublier , les relations entre collegues toutes simplement parfois dégradées . Le harcèlement existe egalement malheureusement dans certaines boites , provenant de la différence des personnes concernées , faut de discrimination encore ttrop fréquente dans notre société .
L'atmosphère envirronnante ; les relations familiales , les problèmes financiers , une ville sujette a énrmément de bruit peut aussi jouer sur la psychologie de la personne et donc accentuer les troubles psychologiques de la personne ...
Bref des facteurs on pourrait en énumérer tout un tas , mais le tout est de se concentrer sur les plus importants et surtout , savoir donner de exemple en relation avec nos dires .
Voili voilou ^^
Invité- Invité
Re: THEME 3 - Sujet 1 - Suicide au travail
Le T.A.S.S. (Tribunal de Affaires de Sécurité Sociale a reconnu mardi un cas de suicide comme accident de travail.
En février 2007, un technicien Renault de Guyancourt s'est pendu à son domicile.
Il avait laissé une lettre où il avait écrit (je cite) "je ne peux plus rien assumer, ce boulot c'est trop pour moi, ils vont me licencier et je suis fini. Je ne saurai pas faire son top série de m... à Gosn et à Hamel. Pardon, boonne chance".
Les juges de la T.A.S.S. ont conclu que l'acte suicidaire de Mr D. est survenu par le fait de son travail.
En février 2007, un technicien Renault de Guyancourt s'est pendu à son domicile.
Il avait laissé une lettre où il avait écrit (je cite) "je ne peux plus rien assumer, ce boulot c'est trop pour moi, ils vont me licencier et je suis fini. Je ne saurai pas faire son top série de m... à Gosn et à Hamel. Pardon, boonne chance".
Les juges de la T.A.S.S. ont conclu que l'acte suicidaire de Mr D. est survenu par le fait de son travail.
Invité- Invité
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